Tchao Tarbenas! Nous partons presque déçus de n'avoir pas vu les indiens... Et pourtant, il ne manquait plus qu'eux, non?
En voilà un quand même...
Tout a une fin, même le désert de Tarbenas.
Nous voilà dans l'Andalousie de la Sierra Nevada, des champs d'oliviers et d'amandiers à perte de vue. Des champs d'éoliennes aussi, presque toutes à l'arrêt, et de panneaux solaires. Moins bucoliques mais sans doute efficaces pour alimenter les pompes d'irrigation.
Après le passage du col de la Mora (1380 mètres), le paysage change. Au fait, savez-vous qu'en espagnol, col se dit puerto (port)? Ici pas besoin de choisir entre la mer et la montagne, on a les deux pour le prix d'un... Dingue, non?
Les collines et les vallons andalous remplacent les canyons et la plaine. Entièrement couverts de dizaines de milliers d'oliviers, ils créent un paysage particulièrement graphique, tout en pointillé.
Petite escale utilitaire et gourmande à Antequera, dont nous ne connaîtrons finalement que le Carrefour, et la Plaza de Toros, avant de repartir pour Cordoue. Quand nos véhicules nous obligent à nous garer loin du centre historique, que nous sortons de table et qu'il fait 32 degrés à l'ombre, on peut facilement rendre son tablier de touristes. Pas de quoi être fiers mais nous nous réservons pour Cordoba!!!
Olé !!!
A suivre...
Où est passé le taureau ,Catherine ?🤣