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Sur les chemins du Portugal

Scission temporaire dans la groupe ce lundi matin...

Dominique et Christine repartent vers Sintra et la Quinta da Regaleira, à laquelle nous avons dû renoncer hier, en espérant un début de semaine plus calme côté touristes.

Jean-François, Elisabeth et nous préférons continuer la route, ou plus exactement retrouver les chemins un peu plus sauvages de ce voyage. Nous nous retrouverons ce soir vers Nazaré.

En fait, séduits par un site de bivouac bucolique et tranquille à souhait, nous n'irons pas jusque là et nous arrêterons un peu après la Lagoa de Óbidos. Nous nous retrouverons demain matin... si nous survivons à la fraîcheur de l'air et à une nuit de camping sauvage. Suspense!!!


Car les soirs et les matins sont bien frais en cette fin du mois de septembre...

Les journées, heureusement, sont très ensoleillées, et celle-la commence avec la plage spectaculaire d'Ericeira,



encore un paradis pour les vagues et les surfers...



... et pour les pêcheurs de poulpes


Celui-ci a attrapé un chien!!! Je rigole...

Et nous, nous prenons tranquillement notre café, avec des pastéis... La coolitude des surfers nous gagne.


Après des kilomètres de route pour éviter l'autoroute, nous retrouvons enfin nos traces (enfin, celles du parcours que nous suivons depuis le début de ce voyage) et nous roulons à nouveau sur des chemins, au milieu d'une forêt d'eucalyptus.

Délicieux déjeuner près d'un lac dans un restau portant le nom bien poétique de grotte des musaraignes, ça ne s'invente pas....



Le vent se déchaîne sur la lagune derrière nous et kite surfers et véliplanchistes s'envoient en l'air littéralement. Ces deux là aussi certainement... avant que nous arrivions !

La lagune de Obidos est impressionnante. Elle forme un estuaire ensablé à perte de vue dans lequel la mer cherche à forcer le passage sans y parvenir. C'est sauvage et somptueux...


C'est tout pour aujourd'hui. Le camping sauvage a ceci de sauvage qu'il n'est pas électrifié. Et mon macbook qui a l'âge de ses artères (plus de 10 ans...) se décharge trop vite pour me laisser le temps d'écrire un roman... Et puis c'est l'heure de l'apéro!!!

A demain...

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